L’ange des séparations est l’un des six récits et romans que j’ai écrits. Ce n’est pas le plus récent mais c’est le premier à être publié. 

 

Il peut être commandé chez l’imprimeur (lien ci-dessous) :

EDITIONS UNICITE | Colette Klein | L’Ange des séparations

ISBN : 978-2-38638-166-9

15 €

 

ARTICLE

de Murielle COMPERE-DEMARCY

publié par Angèle PAOLI sur son blog : “Terre de femmes” :

https://terresdefemmes.blogs.com/mon_weblog/2025/03/colette-klein-lange-des-s%C3%A9parations-.html

 

4e de couverture :

 

« Les romans parlent tous d’amour et de mort » déclare la sœur du personnage central. L’Ange des séparations n’échappe pas à cette règle, qui met en scène un homme solitaire en proie à la quête de plus en plus irrésistible d’une femme qu’il a aimée, et cela, dans un monde menacé par une guerre perpétuelle, si bien que son destin en vient à prendre une dimension universelle. La seule issue étant peut-être celle de l’art représenté par la sœur, peintre, et qui doit faire face à des démons qui la conduiront à sa perte. La recherche obstinée de son amour perdu lui fera découvrir qu’il s’est trompé, tant sur l’objet de sa quête que sur l’espoir d’une humanité apaisée.

 

Extrait

Favier était debout devant la fenêtre, le front contre la vitre. Il ne regardait pas au dehors mais restait là, subjugué par l’ombre qu’il sentait monter en lui. Il songeait à ce que lui avait dit sa sœur, Maud, il y a maintenant des années : « Il y a les peintres qui représentent le monde, ceux qui l’imaginent, et ceux qui le refusent pour mieux s’en échapper. »

Il n’était pas peintre mais se demanda si la formule ne pourrait pas aussi s’appliquer au destin de chacun : il y aurait ceux qui apprécient la vie, ceux qui l’imaginent, et ceux qui… mais à quelle catégorie appartenait-il ? La deuxième ? Ou la troisième ? À moins que Maud se soit trompée et que ces deux voies n’en fassent qu’une. Elle seule aurait pu lui répondre, mais il était trop tard pour en discuter avec elle et…